Le titre, Heidelberg, est écrit en lettres blanches, le point sur le i est un cœur rouge, en haut d’une photographie représentant un château au-dessus d’arbres, de maisons au bord d’une rivière, avec un pont sous lequel passe une péniche.
Un plan du centre confirme le château, le parc et quelques rues, le pont (Alte Brücke) sur la Neckar. Les parkings y sont indiqués, des ronds rouges portant les nombres de 1 à 45 jalonnent un itinéraire (A Walking tour of the Old City) décrit sur une partie du dépliant. Sur l’autre face (c’est dire qu’il faut le déplier complètement et le retourner), il y a d’autres informations (le château, l’université) et un plan plus général de la ville, beaucoup de vert (parcs, cimetières, bois), la Neckar est représentée en bleu, beaucoup de pictogrammes joyeux et colorés (un garçon avec une bouée pour une piscine, une fille en bikini rouge pour une autre, des promeneurs, des joueurs de golf ou de tennis, un éléphant…). Il n’y a pas d’échelle, mais il y a une rose des vents et une date (August 87) et des ajouts au stylo à bille rouge qui indiquent où sortir de l’autoroute, comment aller traverser le pont (un autre) pour se rendre à l’université (actuelle). La même main a ajouté ses trois numéros de téléphone (si tant est que les mains aient des numéros de téléphone), « bureau, secrétariat, chez moi ». En refermant le plan, on peut tomber sur la « page » d’histoire (A Brief History of Heidelberg) qui raconte l’histoire de cette ville allemande en commençant il y a 500 000 ans, en s’attardant sur les XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle et dont les quatre derniers items disent :
- Entre 1920 et 1933, la réputation de l’université s’accrut du fait de la présence de plusieurs physiciens et humanistes connus (liste)
- Pendant la deuxième guerre mondiale, la ville échappa aux bombardements
- En 1945, grâce à […] l’université rouvrit
- Aujourd’hui, la population est de 130 000 habitants dont 20 000 étudiants.
Quelque chose à ajouter ?
Non, c’est parfait.
Tu renvoies à un article histoire ?
Il va falloir.
Un plan du centre confirme le château, le parc et quelques rues, le pont (Alte Brücke) sur la Neckar. Les parkings y sont indiqués, des ronds rouges portant les nombres de 1 à 45 jalonnent un itinéraire (A Walking tour of the Old City) décrit sur une partie du dépliant. Sur l’autre face (c’est dire qu’il faut le déplier complètement et le retourner), il y a d’autres informations (le château, l’université) et un plan plus général de la ville, beaucoup de vert (parcs, cimetières, bois), la Neckar est représentée en bleu, beaucoup de pictogrammes joyeux et colorés (un garçon avec une bouée pour une piscine, une fille en bikini rouge pour une autre, des promeneurs, des joueurs de golf ou de tennis, un éléphant…). Il n’y a pas d’échelle, mais il y a une rose des vents et une date (August 87) et des ajouts au stylo à bille rouge qui indiquent où sortir de l’autoroute, comment aller traverser le pont (un autre) pour se rendre à l’université (actuelle). La même main a ajouté ses trois numéros de téléphone (si tant est que les mains aient des numéros de téléphone), « bureau, secrétariat, chez moi ». En refermant le plan, on peut tomber sur la « page » d’histoire (A Brief History of Heidelberg) qui raconte l’histoire de cette ville allemande en commençant il y a 500 000 ans, en s’attardant sur les XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle et dont les quatre derniers items disent :
- Entre 1920 et 1933, la réputation de l’université s’accrut du fait de la présence de plusieurs physiciens et humanistes connus (liste)
- Pendant la deuxième guerre mondiale, la ville échappa aux bombardements
- En 1945, grâce à […] l’université rouvrit
- Aujourd’hui, la population est de 130 000 habitants dont 20 000 étudiants.
Quelque chose à ajouter ?
Non, c’est parfait.
Tu renvoies à un article histoire ?
Il va falloir.