Buenos-Aires Plano Turistico Tourist Map est un petit dépliant publicitaire en papier glacé (la publicité est pour les Galerias Pacifico). Une des faces comporte, outre beaucoup de publicité, un plan du métro (lignes verte, rouge, bleu clair, bleu foncé, mauve) et un plan d’un quartier de la ville (Palermo). L’autre face est le plan lui-même. Les Galerias Pacifico y sont parfaitement visibles, mais le Rio de la Plata, le port, la gare, les parcs, ainsi que plusieurs autres lieux et bâtiments s’y voient clairement eux aussi.
Pour la couleur locale, signalons un pictogramme qui désigne évidemment des lieux dévolus au tango et qui est utilisé six fois sur le plan. D’autres jolis pictogrammes indiquent des grues sur le port. Un lion désigne le parc zoologique et des avions les autoroutes menant aux aéroports. Une rose des vents permet de savoir que le haut représente le nord-est. Des ajouts manuscrits indiquent Ateneo 1860, apparemment à sa place sur le plan, des numéros de bus et d’autres adresses ailleurs.
Pour la couleur locale, signalons un pictogramme qui désigne évidemment des lieux dévolus au tango et qui est utilisé six fois sur le plan. D’autres jolis pictogrammes indiquent des grues sur le port. Un lion désigne le parc zoologique et des avions les autoroutes menant aux aéroports. Une rose des vents permet de savoir que le haut représente le nord-est. Des ajouts manuscrits indiquent Ateneo 1860, apparemment à sa place sur le plan, des numéros de bus et d’autres adresses ailleurs.
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Buenos-Aires Complimentary copy a une allure plus évocatrice puisqu’il s’orne d’un collage de photographies représentant différents points de la ville. L’une des faces, en plus des inévitables publicités, comporte un texte sur les vins argentins ainsi que quelques mots sur des quartiers de la ville, en espagnol et en anglais.
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Le plan n’a pas d’échelle, ni de date, ni de rose des vents, mais il est présenté de façon exactement opposée à l’autre, de sorte que le Rio de la Plata est en bas et à droite. Un étonnant parti-pris esthétique a fait ombrer les contours des polygones dessinés par les artères (qui ne sont pas tous des carrés, ni même des quadrilatères) et ceci donne à l’image un aspect « plan des pâtés de maisons » plutôt que « plan des rues ».
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Le plus étonnant, c’est à quel point on ne se croit pas là en Amérique latine, pas du tout comme à Mexico ou à Rio, dit Guglielmo à Fiordiligi.
Pas plus qu’à Bordeaux elle n’est allée à Buenos-Aires.
Pas plus qu’à Bordeaux elle n’est allée à Buenos-Aires.
7 mai 2014
(à suivre)
(à suivre)