Michèle Audin

Pour écrire ce livre, j’ai bénéficié de l’aide, le plus souvent inconsciente, de nombreuses personnes, qu’il n’est pas question de nommer toutes ici.

Les contraintes utilisées ne me permettent pas de remercier toutes celles et ceux qui m’ont ou m’auront signalé telle ou telle faute de frappe ou erreur plus grave (alors qu’il y en a et que, déjà, on m’en a fait corriger, et que, bien sûr, il en reste et en restera).

Je ne peux même pas remercier le vingt-septième éditeur à qui j’aurais envoyé ce texte pour publication, parce qu’il aurait été le premier à avoir eu la correction de me répondre (qu’il le refusait) – juste parce que je ne l’enverrai à aucun éditeur.

C’est avec chaleur et reconnaissance que je remercie ceux et celles dont je me suis inspirée pour les personnages de ce texte. Il n’est pas forcément agréable de se retrouver dans un texte de fiction, j’espère ne pas les avoir trop malmenés. Dans l’ordre Lucia, Ferrando, Dorabella et (oui, oui) Fiordiligi.

Et bien sûr, surtout, Guglielmo.
 
15 février 2015
(à suivre)

Image du jour
(avec remerciements)
Moncton NB