Inukshuk, l’homme debout, se construit autour d’une correspondance. Lui part et veut oublier un drame intime. Elle tente de lui faire retrouver le chemin du retour.
Inukshuk, l’homme debout, n’est pourtant pas un livre du deuil, de l’exil ou de l’inconnu. C’est un récit émouvant, puissant, où texte et vidéogrammes se rencontrent et se renforcent pour parler de la vie, de cet oubli nécessaire qui triomphe de tout.
Inukshuk, en inuktitut, la langue des Inuit, signifie “homme debout”. C’est le nom de ces édifices faits de pierres empilées qui émergent de la neige et permette à l’homme seul de retrouver son chemin de l’étendue glacée et sans limite de la toundra.
Vidéogrammes de Jean-Baptiste Decavèle