Michèle Audin est membre de l’Oulipo depuis juillet 2009. Elle a été employée comme mathématicienne par différentes universités de 1979 à 2014.
Ses articles de recherche mathématique (topologie algébrique, géométrie symplectique et en particulier systèmes intégrables – comme celui décrivant le mouvement d’une toupie) sont disponibles sur son ancienne page web professionnelle.
Les mathématiques sont un élément de la culture en général (et de la culture générale), ainsi qu’elle tente de le montrer dans différents ouvrages, tels
- Souvenirs sur Sofia Kovalevskaya (paru en 2008)
- et La formule de Stokes, roman (février 2016)
qui contiennent des mathématiques, de l’histoire et des pastiches littéraires, avec une forte composante historique. Elle est l’auteur de plusieurs livres d’histoire des mathématiciens.
Noter aussi la très oulipienne collaboration avec Ian Monk, pour le « monde des nonines ».
La dimension « historique » est présente dans les récits et romans qu’elle a publiés dans la collection l’Arbalète (Gallimard),
- Une vie brève (janvier 2013) (paru aussi en Folio),
- Cent vingt et un jours (janvier 2014),
- Mademoiselle Haas (janvier 2016), un « roman par nouvelles ».
- Oublier Clémence (octobre 2018), encore une inconnue
Ce sont aussi des anonymes et invisibles qui ont fait l’histoire de la Commune de Paris de 1871, un événement sur lequel MA travaille depuis plusieurs années. Voir Mai quai Conti (nouvelle version de juin 2014), en ligne sur ce site, mais aussi
- son blogue sur la Commune de Paris, depuis le 1er mai 2016,
- son roman Comme une rivière bleue (août 2017),
- les textes d’Eugène Varlin, Eugène Varlin, ouvrier relieur 1839-1871 (2019),
- C’est la nuit surtout que le combat devient furieux, Alix Payen (2020),
- La Semaine sanglante, mai 1871, légendes et comptes (2021),
Toutes les publications de Michèle Audin se trouvent sur une page de bibliographie (cliquer).
Voir aussi sa page personnelle, ici.
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