Résumé

Jacques Roubaud a réduit la forme de haïku à trois vers de 5, 3, 5 syllabes respectives. Il appelle cette forme nouvelle le trident, le vers court étant assorti d’un symbole. Aussi, relisant Mallarmé, Frédéric Forte décide-t-il de composer des tridents à partir de certains poèmes de Mallarmé, et en les complétant soit d’un vers de 4 syllabes, soit d’un vers de 4 syllabes et d’un vers de 6 syllabes : ce sont des pentacles, et plus précisément les Pentacles Mallarmé, BO n° 227